Le rêve de Darwin
D’emblée, je tiens à dire que je ne suis pas biologiste de formation. Je n’ai même pas lu d’un couvert à l’autre L’Origine des espèces (OE) de Charles Darwin. Désolé de le dire de manière aussi sèche, mais ce genre d’écrit ne m’emballe pas le moins du monde. J’aime la philosophie, malheureusement je ne trouve rien de philosophique dans OE. Sauf, sans doute, la dernière page, laquelle, comme on le sait, fut ajoutée lors de la deuxième édition d’OE afin d’atténuer le malaise des croyants. Je cite deux passages de la fameuse dernière page d’OE. ... comme la sélection naturelle n’agit que pour le bien de chaque individu, toutes les qualités corporelles et intellectuelles doivent tendre à progresser vers la perfection. [1] Puis, cette avant-dernière phrase : N’y a-t-il pas une véritable grandeur dans cette manière d’envisager la vie, avec ses puissances diverses attribuées primitivement par le Créateur, à un petit nombres de formes, ou même à une seule ? Provenant d’un non-philoso...